Quelles sont les priorités des entreprises en 2011 ?
Au palmarès des priorités des entreprises françaises, le recrutement arrive en cinquième position. C'est ce que révèle la nouvelle enquête du cabinet de recrutement Robert Half.
Je m'abonneAlors que 2011 s’avance dans un contexte économique encore difficile, les entreprises font face à de multiples challenges. Leurs priorités sont tant économiques que managériales pour 2011-2012. Le cabinet de recrutement Robert Half s'est intéressé aux priorités des entreprises en Europe.
Selon l'étude, il apparaît que c’est en Allemagne que le recrutement de nouveaux collaborateurs qualifiés est le plus important, alors qu’en France, la fidélisation des collaborateurs passe avant les recrutements. Pour Olivier Gélis, directeur général de Robert Half International France : "la reprise est bien à l’ordre du jour en France et il convient d’améliorer le service client ou la qualité des service-produits pour (re)conquérir clients et prospects". C'est d'ailleurs la "top" priorité (avec 23 % des suffrages).
La crise est encore bien présente dans les esprits : il n’y pas de relâche notoire dans la maîtrise des coûts (deuxième priorité, avec 21 %) au sein des entreprises. Les entreprises, qui ont aussi bien tiré les conséquences des précédentes crises, souhaitent éviter la fuite des talents en fidélisant et motivant leurs collaborateurs (troisième priorité, avec 17 %). »
En France, la priorité des entreprises est :
1) l’amélioration du service client et de la qualité de services (23 %)
2) la maîtrise des coûts (21 %)
3) la fidélisation et la motivation des équipes en place (17 %)
En Allemagne, la priorité des entreprises est :
1) le recrutement de nouveaux collaborateurs qualifiés (21 %)
2) la fidélisation et la motivation des équipes en place (19 %)
3) l’amélioration du service client et de la qualité de service (17 %)
En Italie, la priorité des entreprises est :
1) la maîtrise des coûts (23 %)
2) l’amélioration du service client et de la qualité de services (22 %)
3) l’investissement dans les nouvelles technologies (19 %)