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Les mémoires cellulaires au service des entrepreneurs !

Publié par Linda Labidi le | Mis à jour le

Nos mémoires seraient stockés dans notre ADN et plus précisément dans nos cellules. Ces souvenirs seraient la source de nos joies mais aussi de nos déboires. Jusqu'à quel point ces mémoires influencent-elles notre quotidien ? Nous avons interrogé Françoise Nallet : Praticienne par la mémoire cellulaire/accompagnement ouverture de conscience

Pour les bouddhistes, ces mémoires cellulaires peuvent venir de nos vies antérieures, mais aussi de notre lignée générationnelle (ancêtres, parents), voire de notre vie intra-utérine. Nous les transmettrions de génération en génération à notre descendance au même titre la couleur des cheveux ou des yeux. Pour Françoise Nallet ces mémoires sont une charge énergétique nichées dans nos cent mille milliards de cellules.

La racine du bien comme du mal

Si vous faites partie de celles et ceux qui rencontrent les mêmes expériences négatives, malgré toute votre bonne volonté, il se peut que ces schémas répétitifs tiennnent leurs origines d'un programme génétique. « Nos cellules ne font pas la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas » précise Françoise.

À partir des expériences vécues dans notre quotidien, les informations sont enregistrées dans nos systèmes. Ces derniers sont générateurs d'énergies et donc de nouveaux comportements en lien avec ces anciennes expériences. « Ce sont ces systèmes qui nourrissent notre réalité » insiste la praticienne.

La preuve par l'expérience

Il n'existe aucune étude avérée sur le sujet. Pour Françoise Nallet : « La meilleure preuve c'est l'expérience ». Pour celles et ceux que cela intéresse, il existe aujourd'hui des thérapies des vies antérieures. Certaines sont réalisées par des professionnels de l'hypnose avec des séances d'hypnoses régressives.

Pour Françoise Nallet, oui, les tâches et les grains de beauté auraient également leurs histoires et donc porteurs de leurs propres mémoires. Des théories qui viennent appuyer les témoignages de différents patients ayant reçu une greffe d'organe qui affirment ressentir, à leur tour, les souvenirs du donneur.

Une déprogrammation cellulaire

Pour Bryan Pagnusatt, entrepreneur et client de Françoise, la démarche est avant tout personnelle avant d'être professionnelle. "C'est un vrai travail d'exploration" précise Françoise. l'entrepreneur abonde : « Je progresse petit à petit. Travailler sur soi c'est un travail de longue haleine » .

Aller la source des blocages serait un moyen de déprogrammer des schémas inconscients négatifs, et de se réaliser, enfin !

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