Votez pour l'entreprise dont vous voulez avoir des nouvelles !
Trois PME sont en lice pour la parution d'un nouvel article. Lisez leur portrait et votez pour celle de votre choix !
Je m'abonneChaque mois, la rédaction de Chef d’Entreprise sélectionne trois PME ayant fait l’objet d’un article dans un précédent numéro et vous donne le choix : quelle est l’entreprise dont vous voulez avoir des nouvelles ? Votez sur notre site web (en nous envoyant votre choix par e-mail à redactionCEM@editialis.fr) et la PME qui obtient le plus de suffrages aura droit à une nouvelle parution dans cette rubrique.
Regioneo.com, le site de produits du terroir qui lève 100 000 € auprès des internautes :
En choisissant de créer un site de vente en ligne de produits régionaux Regioneo.com, en 2009, Marc Thouvenin et Pierre Chappaz, les deux dirigeants, choisissent de s’adresser aux internautes et leur proposent d’investir au minimum 100 € dans leur projet. 250 particuliers et quelques investisseurs issus de l’Internet français y croient et permettent à l’entreprise lyonnaise de lever 100 000 € en un mois.
Codip pour l’enfance : un patron négociant en acier créé une fondation pour l’enfance en difficulté :
Claude Carbonnel, patron d’un négoce d’acier basé à Aix-en-Provence, a choisi de créer une fondation à l’instar des grands groupes. Créée en mars 2007, la fondation Codip pour l’enfance a pour objectif de venir en aide aux enfants en difficulté dans des pays comme Madagascar ou le Vietnam. Sa fondation dont le budget était de 30 000 € annuel souhaitait consacrer 150 000 € sur cinq ans à cette cause et sensibiliser d’autres patrons de PME à son initiative.
Anis de Flavigny : Catherine Troubat, la dirigeante, souhaite passer de 30 % à 45 % de son chiffre d'affaires à l’export :
Catherine Troubat, la gérante des Anis de Flavigny, basée en Côte d’Or-Bourgogne, a su diversifier ses canaux de vente en se positionnant sur Internet via un site d'e-commerce traduit en cinq langues et sur des marchés nouveaux à l’export. Alors que 70 % de ses ventes se déroulaient en France en 2010, la dirigeante souhaitait que ses petites boîtes d’anis soient présentes dans de nouveaux pays pour atteindre 45 % de son CA à l’export. Les moines les fabriquaient déjà au XVIe siècle.