Quel sera le futur du travail chez Alan ?
Il y a des futurs du travail, je pense. Je n'aime pas trop les personnes qui mettent des systèmes en place et décident que c'est ce qu'il faut suivre.
Bien sûr, il y a une évolution des attentes : les actifs veulent plus de flexibilité, de confiance. Ils ne veulent plus être infantilisés. C'est un nouveau pacte social qui se crée. Nous devons aider chaque collaborateur à grandir. Mais ils doivent aussi faire grandir l'entreprise et l'améliorer en permanence.
Depuis la dernière levée de fonds, Alan est valorisée 1,4 milliard d'euros. Le statut de licorne met-il une certaine forme de pression ?
C'est un nouveau statut, mais il ne change rien à notre vie de tous les jours. C'est le message que j'essaie de faire passer en interne et en externe : le statut de licorne importe peu.
Ce qui compte, c'est notre mission. Mais il y a clairement un gap en termes de notoriété parce
