Startups, PME, ETI : et si vous placiez vos excédents de trésorerie ?
Dans un contexte économique incertain et encore inflationniste, les excédents de trésorerie sont un actif précieux qui ne doit surtout pas se déprécier. Entre disponibilité, liquidité et performance, de nombreuses solutions existent. Explication avec Céline Janin, Directrice Marketing pour le réseau Caisse d’Epargne à BPCE.
Dans le contexte économique actuel, caractérisé par la hausse des coûts de l’énergie, des matières premières, les entreprises ont-elles encore vraiment des excédents de trésorerie ?
CJ : Absolument ! La situation est évidemment très variable selon la taille de l’entreprise ou encore les secteurs d’activité, mais les startups, les PME et les ETI disposent régulièrement d’excédents de trésorerie qui, notamment dans un contexte inflationniste, se déprécient s’ils ne sont pas placés et ne font pas l’objet d’une recherche d’optimisation. Il est capital pour les entreprises d’actionner l’ensemble des leviers à leur disposition pour consolider et valoriser leur trésorerie autant que possible !
Quelle posture doit présider à cette recherche d’optimisation des excédents de trésorerie ?
CJ : Tout dépend fondamentalement des projets envisagés par l’entreprise, du risque que le dirigeant d’entreprise est prêt à prendre, de ses besoins en disponibilité et de la durée de placement des excédents. C’est en cela que l’accompagnement de proximité qui est l’ADN même de la Caisse d’Epargne, dans les territoires, fait la différence. Nos chargés d’affaires Entreprises accompagnent leurs clients, échangent régulièrement avec eux sur leurs attentes, leurs enjeux et peuvent s’appuyer sur les savoir-faire d’un écosystème complet d’experts partenaires pour réaliser des audits précis et effectuer des recommandations sur-mesure. De nombreuses solutions sont proposées et sont personnalisables en fonction des besoins de nos clients ; pour exemple, les comptes à terme, les emprunts obligataires, des produits structurés de taux ou actions sur-mesure en passant par une gamme d’OPC (monétaires, obligataires, actions). Nous mettons tout en œuvre pour que, quel que soit le dispositif choisi par le dirigeant, des ajustements ou des alternatives soient arrangés afin que le placement des excédents puisse s’ajuster aux impératifs du client et ne pas être un frein dans le développement quotidien de l’entreprise.
Quelles sont les attentes réelles des dirigeants d’entreprises dans cette recherche d’optimisation des excédents de trésorerie ?
CJ : Eviter la dépréciation, rentabiliser, investir responsable et participer à l’économie locale constituent les piliers fondamentaux d’une gestion saine des excédents de trésorerie. Cela commence bien sûr par la volonté de gérer la trésorerie au quotidien et éviter de la déprécier, mais le fait que Caisse d’Epargne, banque mutualiste, soit très présente sur l’ISR (Investissement Socialement Responsable) est particulièrement apprécié. Par ailleurs, le Groupe porte une forte attention aux opportunités de marché en proposant, lorsque cela est pertinent, des produits innovants qui permettent aux clients de disposer d’une rentabilité optimisée, tout en conservant une approche prudente du risque. Autre atout essentiel : la proximité de nos équipes. Notre expertise en région constitue un ancrage majeur pour ces dirigeants qui attendent du placement de leurs excédents de trésorerie qu’ils alimentent notamment un cercle vertueux local. Ainsi, les placements que nous collectons servent, avant tout, à financer les projets dans les régions, comme des infrastructures locales, des moyens de communication ou de transports, des projets de transition. Cette dimension locale est au cœur de l’ADN de la Caisse d’Epargne et c’est une valeur que nous partageons avec les dirigeants.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur https://www.caisse-epargne.fr/entreprises/