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#VivaTech : 5 fintech qui se démarquent

Publié par Amélie Moynot le

Les services financiers se transforment. La preuve avec ces 5 start-up repérées sur le salon Viva Tech, jeudi 30 juin 2016 à Paris.

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Deewee

La start-up Deewee propose de dématérialiser les tickets de caisse grâce à une box connectée entre la caisse et l'imprimante. L'objectif est à la fois de désencombrer les portefeuilles des clients et d'aider les commerçants à développer leur efficacité en s'appuyant sur le numérique.

Pour les clients, possibilité aussi d'archiver ses tickets par date, enseigne ainsi que ses garanties. Quant aux commerçants, ils y gagnent, de leur côté, la possibilité d'envoyer aux consommateurs des offres promotionnelles personnalisées, c'est-à-dire basées sur leurs achats passés, et géolocalisées. De quoi développer leurs ventes en augmentant la satisfaction et la fidélisation.

La solution est compatible avec tous les logiciels de caisse. Son prix ? En location, à partir de 30 euros par mois et par caisse.

Repères

Localisation : Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne)

Présidente fondatrice : Ruoyun Liu

Raison sociale : non disponible

Création : novembre 2015

Effectif : 4 personnes

CA 2015 : NC

@ : pas de compte officiel


Tapbuy

L'avenir de l'achat en ligne se jouera sur le mobile. Cela, la start-up Tapbuy l'a bien compris. Son objectif : aider les retailers à augmenter leur taux de conversion sur mobile en facilitant l'achat pour le consommateur. " En moyenne un site sur mobile convertit trois à quatre fois moins qu'un site sur PC. L'idée est d'augmenter les taux de conversion d'au moins 30 %, et jusqu'à 500 % ", explique Olivier Cotinat, cofondateur.

Concrètement, la start-up porte ses efforts sur l'amélioration de l'ergonomie, la rapidité ou encore l'optimisation des informations demandées au consommateur sur les sites de m-commerce. Ses premiers clients sont issus des domaines de l'habillement ou encore de la décoration. Elle repose sur un modèle à la performance et vend son service à partir de 1000 euros par mois en fonction du volume.

Repères

Localisation : Paris

Fondateurs : Nicolas Baudran, Olivier Catinat, Philippe Huysmans et Jérôme Pellegrin

Raison sociale : spin-off de Flayr

Création : mars 2016

Effectif : 16 personnes

CA prévisionnel 2016 : NC

@TapBuyio

Clother

Dédiée aux hommes qui n'aiment pas le shopping, Clother est une application mobile qui permet d'être mis en relation avec une styliste pour le choix de ses vêtements. L'idée de la start-up qui l'a imaginée est de proposer, outre un service, une expérience sur mobile différente. " Chez nous pas de long coup de fil à une styliste, mais l'utilisateur swappe des photos de vêtements puis remplit un mini-formulaire", explique Dorian Dawance, cofondateur. En croisant ces données avec les tendances mode du moment et avec des données météo, seuls trois produits ciblés sont proposés au client qui aura pu, entre temps, faire un point avec une styliste.

L'application, disponible depuis février 2016, compte aujourd'hui 3000 utilisateurs actifs. Autre idée envisagée par la start-up : proposer l'appli comme une brique servicielle à des retailers.

Repères

Localisation : Paris

Fondateurs : Dorian Dawance, Joseph Ghafari et Benoît Sabatier

Raison sociale : SAS

Création : novembre 2015

Effectif : 3 personnes

CA 2015 : NC

@ClotherApp


Lofty

Une solution d'archivage... bien physique et pas du tout dématérialisée. Voilà ce que propose Lofty avec des box de rangement, dédiées aussi bien aux particuliers qu'aux entreprises. " BNP Paribas pense à proposer un service de conciergerie dans son application de paiement mobile baptisé Wa! et qui sort en octobre ", confie Laurence de Lavallade, cogérante de Lofty.

La particularité de ces boîtes ? Elles disposent d'un code-barres qui permet de renseigner sur leur contenu, gérable, par ailleurs, via une application mobile dédiée. La start-up, succursale d'une société anglaise, assure également leur transport. Elle compte aujourd'hui 800 clients.

Repères

Localisation : Paris et Londres

Dirigeants : Laurence de Lavallade et Cédric Naintré

Raison sociale : statuts déposés en Angleterre

Création : lancement janvier 2016 et il y a un an environ en Angleterre

Effectif : 4 personnes

CA 2015 : NC

@LoftyParis

Wiingit

Autre service potentiellement intégrable à une application de paiement mobile : la réception de bons plans géolocalisés. La start-up Wingit a développé un algorithme qui scanne les réseaux sociaux pour repérer les bons plans et les rend ensuite accessible au grand public via une application mobile. Depuis peu, elle s'est également lancée en B to B et propose ce service via des partenaires comme iDTGV ou le quotidien suisse Le Matin. Elle se rémunère en vendant l'accès à ses données (licence API) à un prix qui varie en fonction du nombre de villes et d'utilisateurs.

Wingit est actuellement en phase de croissance. Après deux premières levées de fonds de 4,5 millions d'euros au total, elle en prépare une troisième pour se développer aux Etats-Unis.

Repères

Localisation : basée à Paris, créée en Rhône-Alpes

Associés : Hy-Bien Nguyen et Alban Sayag (président)

Raison sociale : non disponible

Création : 2012

Effectif : 10 personnes (15 prévues en juillet)

CA 2015 : NC

@WINGIT_App


Amélie Moynot

Amélie Moynot

Journaliste

Journaliste depuis 2009, j’ai rejoint la rédaction de Commerce Magazine, Artisans Mag’ et Chefdentreprise.com en 2015. Mes domaines de [...]...

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