[Reportage] La Fabrique - Cookies à plein régime malgré la crise
Fin novembre, Alexis de Galembert, fondateur de la Fabrique - Cookies, nous a ouvert les portes du temple de la gourmandise pendant une matinée du second confinement. Nonobstant la crise, les fours fonctionnent 24h sur 24 et l'entreprise se tourne même vers le recrutement... Immersion.
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Les bureaux
Le fondateur fait partie des premiers arrivés dans le grand open space. Ce dernier est le point névralgique de l'entreprise : il est chapeauté d'une lumineuse verrière, l'espace est meublé de cookies et de matières premières. Les saveurs annotées sur des étiquettes donnent l'eau à la bouche : praline rose, Oreo, citron, caramel, 3 chocolats, lait noisette, choco coco...
Le fouillis ambiant témoigne de la jeunesse de la start-up, encore artisanale dans sa manière de produire et toujours en manque de place. Pour cela, Alexis confie vouloir changer de locaux. À voix basse, on parle d'un nouveau QG, somptueux, spacieux et encore dans le neuf-deux. "Nous allons certainement déménager, je vais remettre du risque et ça m'excite. Voir l'entreprise grandir, c'est ce qui me plaît", affirme-t-il.
De larges fenêtres industrielles donnent sur le laboratoire de fabrication, où la journée a commencé depuis l'aube, en témoigne le bruit des machines. "Il y a du monde 22h/24 à la confection des cookies", explique Alexis.
9h00
Après un café, le jeune chef d'entreprise se prépare un entretien d'embauche. La Fabrique - Cookies cherche à recruter un responsable qualité et opérations (ingénieur en agroalimentaire). Le candidat fait son entrée, il est jovialement accueilli*. En fond, les collaborateurs débutent leur journée.
9h35
Le premier cookie de la journée est consommé. Les emballages des commandes débutent. Le crépitement des papiers enveloppants se mêlent à celui des discussions et au cliquetis des souris d'ordinateur.