USA: les brocantes d'après-divorce séduisent les Californiennes
L'idée lui est-elle venue en observant les déboires sentimentaux des people? Jill Alexander, entrepreneure de 37 ans, a imaginé un nouveau concept de ventes spécialisées: les brocantes post-divorce. Leur objectif? Permettre à toutes les riches Californiennes qui le souhaitent de se séparer des objets qui leur rappellent leur ex-conjoint. Et les clientes amatrices de produits de luxe sont, quant à elles, ravies de dénicher de bonnes affaires à moindre coût. Baptisée «Divorcee sale» (les soldes des divorcés), l'entreprise de Jill Alexander organise des rencontres dans des endroits branchés de Los Angeles, où les jeunes divorcées revendent leurs vêtements, bijoux et sacs à main des maisons les plus prestigieuses. Jill Alexander prend un pourcentage sur les ventes, dont une partie est reversée à des oeuvres de charité. Ancienne styliste, elle espère rapidement conquérir New York, avant d'exporter le concept à travers tous les Etats-Unis.